mardi 8 mars 2011

UNCANNY X-MEN 526



Après une longue absence, je suis de retour pour vous parler de mes coups de coeur, place aux comics!

Dans le premier numéro des x-men en VF qui vient de sortir (la numérotation recommence à 1) on peut y lire les débuts du crossover    Second Coming dont j’ai parlé par ici.


Bien loin de moi l’idée de vous gâcher le plaisir en vous dévoilant tous les évènements liés à cette saga.
Projetons nous un peu dans le futur (de la version française) en feuilletant le Uncanny X-MEN 526 (septembre 2010).

Deux épisodes dans ce numéro, un de 22 pages de M. Fraction et W. Portacio et un de 8 pages de  A. Heinberg et O. Coipiel.
30 pages de comics donc, même si le prix de 3.99$ peut faire grincer des dents la qualité est là.



Les X-MEN se remettent de leurs blessures après le combat titanesque des derniers évènements, et Hope Summers part à la recherche de ses origines en Alaska (lieu de sa naissance : voir « Messiah Complex ») accompagnée de Nemesis, Rogue et Cypher (Doug Ramsey).
De nouveaux mutants apparaissent sur le globe, sauf que le gène mutant se matérialise assez tard ; 19 ans par exemple. Et Hope apparemment serait capable de fixer les pouvoirs naissants de ses nouveaux mutants.

Kitty Pride est toujours au stade de fantôme et n’arrive plus à se matérialiser.

Emma Frost dîne avec Tony Stark histoire de refaire le monde.

Même si je préférais Whilce Portacio sur ses premières apparition sur les X-MEN (cf Uncanny X-MEN 281 et 282 pa exemple avec la première apparition de Bishop ) j’apprécie son style aujourd’hui et j’aime bien cette période d’accalmie où le scénariste mets des choses en place après la tempête.

Rebuilding dessiné par O. Coipiel pause les bases de la mini série Children’s crusade (par içi), en effet Dr Nemesis apprend à Magnéto que deux des Youngs Avengers semblent être ses petits enfants.


Il est vrai que les X-MEN passent par des hauts et des bas, mais j’apprécie toujours de les retrouver et ses dernières années entre Dodson, Land et Portacio, je trouve que niveau dessinateur, Marvel essaye de nous fournir de la qualité (c’est le minimum pour un titre à 3.99$).

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